Dr Who 208-209 The Impossible Planet, The Satan Pit

Pfiou, je sais encore pas quoi dire… C’est pas un p’tit morceau, ça!
La vérité derrière le mythe… Wow.




(j’aime bien le petit effet à travers l’hologramme…)


« Oods? »

 
Et une nouvelle ode à l’humanité… « Brilliant! »

Et ça repart pour une alternance de panique, d’idées lumineuse, de frénésie, de moments où on se pose, de « deceased with honours »





Black holes and revelations, en somme.

Et en quoi il croit, le Doc? C’est quoi, sa religion personnelle?
C’t’intéressant, ça, comme question…


« I believe I haven’t seen everything, I dunno.
Funny, isn’t it? The things you make up. The rules. If that thing had said it come from beyond the universe, I’d believe it, but before the universe? Impossible. Doesn’t fit my rules.
Still, maybe that’s why I keep travelling. To be proved wrong. »

These days…

Toujours pas masse d’inspiration en-dehors des geekeries sur Dr Who, donc je vais recommencer avec mes listes divagationnaires ^^

Ces jours-ci, je:

– me suis plutôt bien éclatée à la Nuit du MdE, le rendez-vous geeking pour donner un p’tit coup de tonifiant au forum… J’ai pas pu rester aussi longtemps que j’aurais voulu, pour cause de n’oeils fatigués (j’ai horreur de ces taches rouges dans le blanc de l’oeil, quand un vaisseau pète à force de se les user sur des lignes et des lignes de lettres) et de syndrome marmottien, accentué par le manque de fatigue dû à la chaleur de ces derniers jours qui a considérablement réduit mon quota de sommeil indispensable… Mais c’était bien!

– me suis fait légèrement entubée en achetant un DVD d’occasion et me rendant compte trop tard que c’est une version anglaise, avec alternatives chinoise et coréenne, mais pas française. C’était écrit en tout petit sur l’annonce et le titre était laissé en français, alors j’ai pas fait gaffe. C’était pas cher, mais du coup ça me reste sur les bras et au final j’ai pas mon film que je voulais revoir une fois en version française, puis en V.O. sous-titrée V.O. …

– me suis gloutonné Skully Fourbery, tous les Georgia Nicolson jusqu’au tome 6, et le premier Sally Lockhart. Et je m’accroche étonnament bien aux premières pages de Thud, mon premier Discworld en V.O!

– me suis farcie une panne au boulot, juste mon poste à moi, rien d’autre. Après réparation ce jour-d’hui, c’est le vieux fax qui servait à rien qui a pris un coup d’orage, tout est intact et rétabli, et j’ai même une p’tite lenteur de résolue ^^
Par contre, encore un peu de retard à rattraper, mais bon, c’est le prix à payer quand toute la gestion est informatisée…

– commence la phase de panique concernant ce que j’emporte aux Francofolies, et dans quel sac???!!!
– à ce propos, m’inquiète de la tendinite de notre voitureur-photographe freelance, je prie pour que ça ne capote pas… (mais y a-t-il une limite au porte-poisse?)

Dr Who 207 – The Idiot’s Lantern

Wouaaaahhh!!! Encore un épisode que j’ai adoréééé!!! (Mais est-ce bien étonnant?)
J’approuve totalement cette intrigue où le danger vient de la TV! Ouais!



Et pis ils sont tout kitchouilles, nos deux companions!





Et décidément, le voyage par Tardis n’est pas très précis, lol…  
(ou alors il se dirige là où y a de « l’action » au mépris des directives du Lord, je verrais plutôt ça comme ça)


« A sort of… Londony New York, mind… »



Par contre, la tonne de gel, merci bien…

(Jack The Tiffeur est parmi nous! Depuis les massacres dans le casting d’HP, il se glisse partout…)


« Hiiiiii! »

Ah, j’adore trop ce passage, comment ils s’incrustent en beauté, muahaha…



Et puis l’incarnation de la méchante, là, la personnification de The Wire, j’adore…

  


« I’m on my way »…


(Je sens que ça va me faire un fond d’écran, ça, un de ces jours!)

Bref, j’ai encore passé un super moment à geeker sur Doctor Who, comme d’hab’ ^^

« That’s what I like about you. The domestic approach.
– Thank you… Hold on, was that an insult? »

Genoux d’abeilles

Je me suis longtemps interrogée sur les paroles d’une chanson de Alanis Morissette que j’adore: Knees of my bees.

Le refrain fait:

you make the knees of my bees weak,
tremble and buckle
you make the knees of my bees weak

Ce qui me laissait toujours perplexe. Supputant avec bon sens que ça devait être une expression, comme les pluies de chiens et chats, je me lance dans une petite recherche, et j’avise ceci:

Tu affaiblis les genoux de mes abeilles*
Ils tremblent et se plient
Tu affaiblis les genoux de mes abeilles*

* « it’s the bee’s knees » est une expression idiomatique équivalente à « c’est génial ». Alanis joue de l’expression dans son refrain. Cependant, il n’est pas possible de traduire le jeu de mots et l’expression en même temps.


Donc les angliches ont quand même une expression à base de « wow! c’est le genou d’abeilles! ».

…Faudrait qu’on m’explique… Si les abeilles ont des genoux… Et en quoi c’est si génial que ça…

Mais je me lâche la main…

Hier, petit message de Kinou m’invitant à voir si on pouvait sortir au ciné ce week-end pour profiter la fête du cinéma et de la place à 2€. Mais d’une, ça fait plusieurs mois que je reviens à chaque week-end et les aller-retours routiers commencent à vraiment me peser, donc j’avais prévu de rester chez moi et me poser un peu, et de profiter un minimum de la Nuit du Mde (Forum du Monde de l’Ecriture dont je suis adepte), même si je vais sûrement pas me faire la nuit blanche, ni dépasser de beaucoup mes horaires habituels. Et de deux, on n’était pas trop en harmonie sur les films: les deux seuls qui me tente vraiment sont « Seuls Two » et « Narnia 2 », mais elle n’aime pas Eric & Ramzy et n’a pas vu le premier Narnia, et de son côté elle était plutôt tentée par Indiana Jones, ce qui personnellement n’est pas trop mon truc.
Donc, basta, et puis ça m’évite de me crever avec encore un aller-retour.

Par contre, je viens de réaliser ce matin que la fête du cinéma est valable aussi au ciné de Guéret. Je zieute le programme, et déjà je vois que c’est « une place achetée = 1 passeport = tous les films à 2€ », donc j’en conclus que la première place est au plein tarif. Déjà moins drôle, vu que l’opération ne dure que 3 jours, dont seulement un en week-end standard: dimanche, lundi, mardi.
Et y’a au programme « Seuls Two » et Narnia 2, et même « Juno » que j’aurais bien voulu voir aussi. Oui mais en Creuse, je me suis tellement bien sociabilisée que je n’ai personne avec qui y aller. Mais comme je l’ai dit, je comptais surtout me coucher tard le samedi soir et ne rien faire du reste de mon week-end. Et j’ai réellement la flemme de refaire un aller-retour à Limoges-and-co. N’empêche, ça aurait été un bon plan…

Surtout que je pensais que je pourrais voir pour un ciné entre copines pour l’un des deux films (surtout « Seuls Two », en fait) le week-end d’après, mais il semblerait que ça va être compromis par un mini repas de famille difficilement repoussable. Et le week-end encore après, on est aux Francos. Les deux jours que j’ai pris pour me reposer au retour sont surtout prévus pour me reposer, comme leur nom l’indique. Je doute qu’on dorme beaucoup à La Rochelle et je me connais, j’ai besoin d’un certain temps de récupération, c’est mon syndrôme marmotte’n’zombie, et je me vois mal redescendre illico pour remonter le lundi. Et il faut aussi que j’aille chez le coiffeur me faire raccourcir la tignasse.

Bref, dans tout ça, le moindre plan ciné semble assez compromis, mais j’ai toujours la hantise des films qui disparaissent de l’affiche en des temps aussi aléatoires qu’absurdes, quel que soit leur qualité ou leur succès, qui ne semblent pas tellement entrer en ligne de compte pour les chargés de la programmation, souvent…

Enfin bref. Je crois que « si j’étais moi », je m’embarrasserais pas de tout ça, je serais plus vaillante et moins endormie, et je me serais arrangée pour revenir ce dimanche à Limoges quand même, ou bien à aller à Guéret, tout seule, je sais pas… Mais voilà, je suis pas si courageuse, je suis pas comme ça, et « je me lâche la main »

Dr Who 205-206 Cybermen/Age of Steel

Hmmm… Où est-ce qu’il va nous embarquer, cette fois?


A vrai dire, pas bien loin: le Tardis a un accident…
Petite incursion imprévue en univers parallèle!

Et c’est pas un coup de tatane vengeur qui va y changer quelque chose…

« – Did that help?
– Yes.
– Did that hurt?
– Yes. Ow! »




But…

« Is that a light? We got power! »

(ça, je sens que ça va détrôner mon « fiat lux » mental quand j’allume la lumière chez moi ^^)



Reste que Rose tient à faire son p’tit tour dans cette version du monde où son père est vivant… Et sa mère aussi, mais pas elle. Ou plutôt, l’autre Rose est en fait un petit toutou-à-sa-maman, huhuhuuuu…  
(‘tention, les verres penchent ^^)

  

Mais Rose n’est pas la seule à avoir son double dans ce monde-là: Mickey trouve son Rickey! Lui-même en version plus teigneux ^^
Dans un groupe de rebelles audacieux…

« But target number one is Lumic and we are going to bring him down.
– From your kitchen?
– Have you got a problem with that?
– No, it’s a good kitchen. »

Quelle joyeuse équipe pour sauver le monde
Par un nouveau plan-impro made in Doc!

« You are just making this up and go along!
– Yep! But I do it brilliantly. »

Lequel se paye au passage une bonne tranche de je-fais-mon-malin-parce-que-j’en-suis-un (et-que-je-le-vaux-bien) ^^

« Yeah, talk too much, that’s my problem. »



Et donc tout est bien qui finit bien. Sauf que vient l’heure des adieux, et ça, c’est toujours kleenexovore à mort.

Déjà, Rose doit quitter ce monde où son père est vivant, pas facile…

Et non content de nous laisser sur ce pincement de coeur, voilà que Mickey déclare qu’il va rester ici, dans ce monde parallèle où ils ne reviendront jamais, parce que toutes les portes doivent être fermées, c’est le job des Time Lords.

Gosh, alors qu’il commençait tout juste à devenir un tant soit peu battant, que j’avais fini par vraiment m’y attacher…
Bon, c’est pas un « coup » neuf dans cette série, mais ça fait toujours le même effet.



Ok, so…


Adieu, Mickey the (non-)Idiot…


EDIT 1: Oh, et j’oubliais « Jungle jungle » utilisé pour couvrir les hurlements, je m’attendais pas à trouver l’original d’une reprise de Pow Wow dans un épisode de Doctor Who…

EDIT 2: Ah-ah! J’en étais sûre : le méchant, Lumic, est joué par Roger Lloyd-Pack. Lequel incarne Barty Croupton Sr dans HP. Question: cette série recycle combien d’acteurs de HP? Dois-je m’attendre à bientôt y trouver Maggie Smith, par exemple?

Caniculi, canicula

Moi j’dis que le soleil c’est bien beau, mais par des chaleurs suffoquantes pareilles, ça devient un véritable tour de force de se mouvoir. Ou même de se légumer, d’ailleurs.

Bon okay, techniquement, on n’est pas encore en canicule, mais moi j’dis que c’est tout comme!

… A part ça, j’ai vu que le Tour de France va passer en plein par chez moi!
Y avait même des panneaux qui prévenaient que la route serait occupée le 10 juillet, et tout et tout…
Je pourrai par aller voir vu que c’est en pleine semaine, mais je suis quand même toute contente et fiérote que Le Tour passe dans le coin… C’est ridicule mais irrésistible ^^

Web is a hungry Dragon…


Vous savez que vous avez trop lu les cycles de l’Assassin Royal (Robin Hobb) quand vous vous dites qu’à force de blog, forums et autres investissements sur le web, vous avez l’impression d’y mettre tellement de vous que c’est un peu comme alimenter un dragon (de pierre)…

Dr Who 204 – The girl in the fireplace

Allez, c’est reparti… Je m’étais un peu calmée, ces derniers temps, d’autres (occu)pa(t)ssions, mais ça revient, l’appel du TARDIS ne se laisse pas attendre longtemps ^^

Okay, donc nous voilà in Paris avec passages à Versailles en compagnie de Madame de Pompadour, que Monsieur The Doc ne laisse pas insensible, comme c’est étonnant.
Le tout avec l’accent, ça fait toujours son petit effet ^^



Et c’est toujours le festival de tronches de dingue…

   


Et ça vous passe par les miroirs comme on rentrerait par la fenêtre…

  


« …seven years of bad luck »


   


Entanglement

Enchevêtrement…

Je découvre en même temps les derniers petits bijoux de Alanis Morissette et de Damien Saez…





Morissette qui s’oriente vers quelque chose de plus électronique, Saez dans un beau tryptique bien mélancolique…
I am a citizen of the planet
From simple roots through high vision
I am guarded by the angels
And my body guides the direction I go in

Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable

Such a difference between who I am and who you see

This shit’s making me crazy
The way you nullify what’s in my head

Dedans parfois je crois que je suis soleil levant
Et mes rêves s’éteignent les uns après les autres,
A chaque pas de plus, c’est toujours un de moins
Au-delà du brouillard, c’est toujours le brouillard …

One day I will speak freely
I’ll be less afraid and measured outside of my poems and lyrics and art

One day I will be faith filled
I’ll be trusting and spacious, authentic and grounded and home

Je suis le cavalier sans tête
Et je cherche un amour
Au travers des tempêtes
Moi je cherche le jour
Moi je cherche la flamme
Qui viendra m’éclairer l‘âme

I have running so sweaty my whole life urgent for a finish line
I have been missing the rapture this whole time, of being forever incomplete

Dr Who 203 – School Reunion

Allez, je me décolle du Tooth and Claw et je me remet enfin à la suite…


Raaah, le Prof Doc, c’est juste fantastique.
  Fantastic, devrais-je dire… je commence à être sérieusement toquée ^^

J’adore ses mimiques… En fait, il a beaucoup plus l’air de s’éclater que le Ninth Doc. Beaucoup moins sérieux. Le grain de folie plus sournois ^^



Matrix a déjà attiré l’attention sur sa crinière, je craque moi aussi, surtout sur la p’tite mèche, là…

 

Et puis c’était marrant, la rivalité entre Rose et Sarah Jane qui se mue en complicité…

 


Et puis c’est émouvant avec cette Sarah Jane, cette ancienne companion…


Et K9, bien sûr! Ca manquait de robots sympathiques ^^


M’enfin je me dis quand même que ça doit être assez space et pas super discret de le promener dans les parcs, gninhinhin




Divagations sur la frustration

L’autre jour, il y a un « monologue » de Vert qui m’a beaucoup touchée. Je me suis rendue compte à quel point je ne suis toujours pas satisfaite de ma vie, à quel point finalement, je suis encore dans cette espèce de vie par procuration qui me frustrait quand j’étais au chômage… Pour vivre ses passions, il faut avoir les moyens, et quand on a la place qui donne les moyens, on est beaucoup moins libre de vivre ses passions.

Et puis au final, je sais pas trop ce que je veux, précisément qui je suis et qui je voudrais être. Concrètement, dans la vraie vie à laquelle on ne peut pas échapper. Parce qu’autrement, j’ai mon vieux rêve d’une vie de loisirs, mais c’est pas réaliste du tout… Alors dans ma vie actuelle, je ne sais plus trop où je vais. Et si je vais aller loin comme ça.

Alors ce soir-là, je me suis inscrite à PI (Pourdlard Interactif, le forum de Poudlard.org) sur un coup de tête. Comme si j’étais pas déjà assez dispersée comme ça sur plein de forums où je retourne quasi jamais, alors que j’ai moi-même horreur de ce comportement.
Pourtant il y a des milieux, des sphères, où je me plaît vraiment et assez activement: Pensine, MdE, Vade-Mecum… J’ai aussi quelques amies In the Real Life que j’ai toujours du plaisir à aller voir, sortir un peu, s’échanger moult choses et tenter de leur faire partager mes passions…

Mais, je sais pas, il me manque quelque chose. Un p’tit truc en plus, une cohésion, une légitimité… Un cercle bien soudé d’amis qui partageraient à la fois mes passions et mon environnement/entourage proche IRL. Je crois que c’est ça, la plus grosse lacune. Et encore, est-ce que ça suffirait? Pas sûr.
Vivre sans complexe, sans devoir sauver les apparences et se forcer à rentrer dans le moule et y tenir sa place, vivre ses passions à fond et au quotidien sans le sentiment de ridicule et de pas sérieux, pas respectable… Ca ne se fait pas comme ça.
Je suis encore et toujours dans cette vie en hiatus, en filigrane, en fantôme…
Je ne parviens toujours pas à accepter la réalité, à me construire mon moi social, tout en le conciliant avec ma vie geek, mon moi passionné, tellement primordiaux dans mon identité profonde…

Bref, ce soir-là j’ai comaté devant mon ordi et me suis inscrite autant par curiosité (j’avais eu envie de le faire il y a longtemps mais j’avais pas voulu être engagée dans la coupe des maisons et tout le temps/investissement que ça demande si on le fait au sérieux) que pour repousser les sombres méditations sur ma vie. Mais depuis ça me tourne dans la tête. Alors il faut que je le déverse ici, une fois de plus.

La Trilogie de Bartiméus (Jonathan Stroud)

J’ai fini, j’ai fini(ihihiigni!!)
pourquoi je tourne toujours cinglée limite hystérique quand je finis un bon bouquin?

     

(oui, la couverture du tome 2 en poche est très moche, mais que voulez-vous, quand on évite de trop dépenser… ça vaut aussi pour mon tome 3, acheté d’occasion, aux premières pages incrustées de sable et à la tranche « cassée » au dernier tiers, que j’ai tenté de recoller avec pour seul résultat de massacrer les pages… Mais bref!)

L’histoire : (tome 1) Bartiméus est un djinn de niveau moyen mais assez puissant ; un jour, il se fait invoquer… par un gamin de 12 ans, Nathaniel. Qui lui demande de voler pour lui l’Amulette de Samarcande chez le puissant magicien Simon Lovelace.
(tome 2) Deux ans plus tard, Bartiméus est de nouveau invoqué par Nathaniel, devenu membre influent du gouvernement, pour l’aider à venir à bout de la résistance, un groupe de plébéiens (= non magiciens) qui se rebellent contre le pouvoir tyrannique des magiciens. Apparaît alors le personnage de Kitty la résistante, qui entre dans le trio des personnages principaux. Et par dessus le marché, un golem détruit sur son passage les rues de Londres.
(tome 3) Bartiméus, extrèmement affaibli parce qu’il n’a pas pu retourner dans l’Autre Lieu depuis plusieurs années, est toujours au service de Nathaniel, devenu un magicien sans coeur comme les autres. Kitty, quant à elle, s’est mis en tête de découvrir un moyen pour rallier les démons et les plébéiens et lutter contre la domination des magiciens ; la Porte de Ptolémée semble un de ses seuls espoirs.

(Vive le copié-collé, mais rendons à Milora du MdE le mérite des efforts que j’ai eu la flemme de faire)

Le cadre est magnifique: Londres, Prague, des détours par l’Egypte ancienne… Le côté politique est très intéressant, l’aspect hautement sarcastique de Bartiméus est absolument délectable, y a tout un tas de choses très sympa… L’évolution de la personnalité de Nathaniel, par exemple… Et l’humour british qui y règne d’un bout à l’autre est vraiment délicieuse! Avec d’ailleurs, un usage des notes de bas de page aussi intensif que Pratchett ^^
Par exemple:

——————

« – Bartiméus !
– Nathaniel * ?

* Chacun de nous deux essaie d’adopter un ton sec, autoritaire et peu amène. Ni l’un ni l’autre n’y parvient tout à fait. Lui s’exprime dans le registre habituellement réservé aux chauves-souris et aux sifflets pour chien ; quant à ma voix à moi, on dirait le gazouillis d’une vieille Anglaise qui demande un sandwich au concombre pour aller avec sa tasse de thé. »

—————-

« Pour certains* c’est admirable de mourir en héros.

*Généralement pour ceux qui n’y sont pas confrontés, les politiques et les écrivains, par exemple. « 

————————

« Maudit démon ! C’en est fini de toi ! Le Feu Réducteur te guette ! Je vais répandre ta vile Essence dans tout le bâtiment comme… euh, comme de la vulgaire margarine, et… et en couche épaisse en plus ! »

———————–

J’adore

Et je m’attendais pas à une fin comme celle-là, à la fois triste et heureuse… (ça dépend pour qui)
Ca laisse un peu un arrière-goût d’inachevé, mais en même temps ça évite une fin conventionnelle…

Et il y a eu un projet d’adaptation au cinéma, tombé à l’eau mais qui renaîtra peut-être un jour… Je serais curieuse de voir ça, mais je suis assez sceptique quand je vois que Stroud dit:
« 
L’équipe du film m’a prévenu que si, dans le livre, Bartiméus prend l’apparence humaine de Ptolémée adolescent, il était néanmoins préférable qu’il se manifeste dans le film sous une apparence plus adulte, afin de pouvoir travailler avec un acteur célèbre et chevronné. J’ai accepté puisque c’est pour le bien du film. Je crois cependant que ce sera un peu moins fidèle à l’esprit de Bartiméus. »

C’est clair que ce serait beaucoup moins fidèle, on perdrait beaucoup de choses si l’apparence de Ptolémée était adulte et non ado…

M’enfin quoiqu’il en soit, les livres sont une trilogie à lire à tout prix!

Tentations renouvelées

Ca faisait un moment que je n’avais pas fait des grosses dépenses pour mon plaisir, que je me limitais même dans les bonnes affaires d’occasions.
Mais les nouvelles sorties CD ne s’arrêtent jamais…

Hier, je commence mes courses comme d’habitude, en traînant dans les promos centrales et en dérivant sans vraiment le vouloir vers le rayon « culturel »… Et en tournant le coin des rayonnages CD, je tombe sur un magnifique présentoir-pub annonçant le nouvel album d’Alanis Morissette. Surprise et jubilation! Je m’apprête à sauter dessus illico, sans aucune considération pour le prix ni pour les disquaires indépendants qu’il faut aider en achetant chez eux en priorité…. Mais tout était déjà dévalisé.
Ca m’a permis de ronger mon frein, et en cherchant un peu une fois rentrée j’ai vu qu’il existe aussi en édition limitée, qui m’intéresse encore plus. J’aurais été très déçue de découvrir l’édition limitée en ayant déjà acheté l’édition normale.

Malgré tout, j’ai quand même pas pu résister à l’impulsion d’acheter le nouveau Era… Qui est pas mal du tout, d’ailleurs, ils se sont enfin renouvelés, j’en suis ravie ^^

Mais en continuant à fouiner un peu, j’ai découvert que Hooverphonic aussi a sorti un nouvel album, et que le dernier Saez en version 3CD m’attire pas mal, et que Romain Humeau, le chanteur de Eiffel, a sorti (moins récemment) un album solo…

Je vais m’efforcer de ne pas tout rafler d’un coup, mais ça fait beaucoup de nouvelles tentations, tout ça ^^

Et avec ça, l’autre fois j’ai vu une affiche de Blankass en passant à Guéret… Je me suis dit « tiens, ils passent à Châteauroux, ou Limoges? Ca pourrait être intéressant… »
Or il semblerait qu’en fait, c’est bel et bien à Guéret, qu’ils passent, pendant le Festival d’été… Qui tombe juste la veille de notre départ pour les Francofolies. Affaire classée, donc.

Dr Who 202 – Tooth and Claw

Juste au moment où on pourrait en avoir marre des planètes de dingues et du futur de SF (ce qui n’est assurément pas mon cas)
Ecosse, époque victorienne.
Wahoohooo!!!



Gosh!! Exactement le genre d’atmosphère que j’adore! Dès les premières secondes, ça commence fort, lol!
Même que ce paysage du tout début, il m’a bien rappelé le SdA…
Et une petite scène d’arts martiaux, *un brin* décalée mais ça se refuse quand même pas ^^


Et puis, non mais bon sang, regardez-moi çaaaaa!!!



   


Yiaaaaaaaa!!!!!

Et puis, l’intrigue toujours aussi bonne et bien rythmée…



« You want weapons? We’re in a library… Books!
Best weapons in the world. »


‘l’a tout compriiiiis!!!


Et pis Matrix a raison, ce criblage de tâches de rousseur…

    

Et le long manteau virevoltant sur la lande…
(petite pensée pour les effets de robes d’un certain Snape ^^)


Et puis, l’Ecosse, quoi. Jusqu’au bout des tifs, définitivement.
Un jour il faudra vraiment que j’y aille.


J’ai bien rigolé avec eux, pendant les spéculations de Rose sur la famille royale…

« And if you think about it, the’re very private. They plan everything in advance. They could shedule themselves around the Moon! And… they like hunting. They love blood sports. Oh, my God! They’re werewolves! »


‘tain, par contre, suivre avec un sous titrage qui a quelques secondes d’avance en trop et des acteurs/personnages qui parlent toujours trop vite, c’est vraiment, vraiment pas de la tarte!


Dr Who 201 – New Earth

Je sais de moins en moins quoi dire après chaque épisode ^^

Je commence à bien m’habituer au New Doc… Même si le Ninth avait son style à lui, on ne perd pas au change. Et puis ce p’tit accent nasillard, là… C’est pas si mal.

Ah oui, et puis ça y est, je me suis mise aux sous-titres en V.O., plus fidèle aux vraies répliques… Il va quand même falloir que je m’accroche pour pas revenir aux ST VF, parce que c’est quand même plus dur à suivre; je dois revenir plus souvent en arrière pour avoir le temps de tout lire et comprendre sans rater l’image pour autant… Mais bon, ça doit être une question d’habitude, et ça n’en sera que bénéfique pour ma compréhension de l’anglais oral (ahem, ahem)

Bon, bref… J’aime assez New (new new new…) New York, d’ailleurs j’ai tout de suite pensé à la chanson des Cranberries , héhé…



Et Cassandra (la vieille peau ^^) dans le corps de Rose, finalement c’était bien marrant.

   

Et j’étais fascinée par ces tronches de chat…
(Et hop, on remet du Cranberries:
Copycat!)


Et pour finir, le Doc, c’est encore et toujours une histoire de main tendue…


Pis alors, la toute fin, j’ai ressorti les mouchoirs, quoi…
(L’inconvénient avec cette série, c’est que ça fait remonter mon fond guimauve.)


Deux jours à tuer (à défaut…)

Alors hier soir, j’étais partie avec Kelkune & sister au cinéma de Limoges qui faisait une avant-première qui nous attirait beaucoup: Seuls Two, le nouveau film de Eric & Ramzy, en présence d’eux-même…


Sauf que comme on est du genre à pas avoir de bol, on a loupé les dernières places en vente. Et le plus rageant, c’est qu’il aurait suffi que je ne laisse pas passer la fille qui se précipitait et qui nous as en fait pris les dernières places sous notre nez…
Je suis trop gentille! Je m’en veux, mais je m’en veux…

M’enfin bon, on n’a plus qu’à attendre le 25 juin pour voir Seuls Two… Et puis j’ai cru voir qu’un nouveau film avec Chabat sort aussi ce mois-ci…

Et donc, pour ne pas être venues pour rien (quand je pense que j’avais posé un après-midi et une matinée de congé exprès pour ça… Et pour rien, au final… Grrr!), on a été voir Deux jours à tuer, avec Dupontel.



C’est très bien, Dupontel est excellent, mais qu’est-ce que c’est triste… Bon, pas tout du long, le vent de rébellion qui souffle sur la première moitié du film donne de bons moments, le personnage s’applique tellement à être magistralement ignoble… Mais ensuite ça s’assombrit petit à petit, de plus en plus, et la fin est bouleversante…
C’est un coup à plomber complètement une soirée! Mais c’est quand même très beau…

Les visiteurs à la grande bibliothèque de l’U.I.


Les visiteurs y viennent néanmoins en masse, en quête de réponses que seuls les bibliothécaires, pensent-ils, sont capables de donner aux questions qu’ils se posent, comme : « C’est ici, la blanchisserie ? » ou : « Comment est-ce que vous écrivez subrepticement ? » et régulièrement : « Est-ce que vous avez un livre que je me rappelle avoir lu dans le temps ? Il avait une couverture rouge, et en fin de compte ils étaient jumeaux. »

(La grande bibliothèque de l’U.I. –
Les Annales du Disque-monde, 30: Terry Pratchett)

Dr Who Special – Xmas Invasion

Le début m’a fait comprendre un truc: une des choses désagréables avec Mickey, c’est qu’il est flippant quand il flippe.


Ca me rappelle trop le tout premier épisode, avec son clone en plastique… Brrr. A part ça, ben le Tenth Doctor, quoi. J’étais aussi désorientée que Rose. Et puis c’est inquiétant de le voir si faible, avec la régénération qui se passe mal…
Jusqu’à ce qu’une good cup of tea trouve enfin son chemin, et qu’on retrouve notre super sauveur de l’univers… en pyjama, huhuhu.



C’est le même, mais… il est différent. Un brin plus vindicatif, peut-être…

(Pauvre Harriet Jones, j’étais contente de la revoir, mais avec l’erreur qu’elle a faite je sens qu’on n’a pas fini de la voir s’enfoncer.)

Et un de ses premiers réflexes quand il est tranquille, c’est de se regarder dans la glace… Ca aussi m’a rappelé le tout premier épisode!




Narcissique, le Doc?

Et Rose qui se torture les ongles…



Pour rien, bien sûr! Evidemment, qu’ils vont continuer à voyager ensemble, voyons…

Dr Who 112-113 Bad Wolf / The Parting of the Ways

Damn it, encore un qui me laisse sans mots. Encore un où j’ai été à ramasser à la p’tite cuillère au moins dix fois, entrecoupée d’espoirs, de ricanements et d’euphories…

Parce que y’a rien de mieux qu’un tas de poussière pour se sentir complètement impuissant…


Parce qu’il y a des fois où une tronche de ouf suffit à peine à exprimer toute l’exultation…


    


Parce qu’il y a des moments où tout n’est pas si cramé, pas encore…




Mais des fois si, un p’tit peu quand même.



Alors on met en route la procédure d’urgence ultime… Pour qu’au moins Rose soit à l’abri.


   


« But what do I do every day, mum? What do I do? Get up – catch the bus – go to work – come back home – eat chips and go to bed? Is that it?

– It’s what the rest of us do.

– But I can’t! […]
But it was… it was a better life. And I – I don’t mean all the travelling and… seeing aliens and spaceships and things – that don’t matter. The Doctor showed me a better way of living your life. »


Donc mettre Rose à l’abri, c’est louable, sauf que Rose elle veut pas rester à l’abri.

Et comme elle est pas con, elle finit par mettre le doigt dessus…


Au passage, j’avais jamais fait gaffe que Micky roulait en Mini!
Bon, pas le modèle le plus classe, mais quand même, quoi!! Il remonte dans mon estime, ce brave garçon ^^

 

Et donc, et donc, Rose réussit un truc absolutly incredible. Epatipoustouflant. Bouleversing.

A ce moment-là, elle est ma Déesse, vraiment.


Mais c’est pas encore fini avec les kleenex. Parce que y’a aussi des moments où toutes les bonnes choses ont une fin, alas, alas.


Pour mieux repartir, bien sûr, pour mieux renaître de ses cendres et continuer à avancer… Mais quand même…

…Je sens que le Ninth va furieusement me manquer. Tennant a l’air moins posé, la voix moins grave, plus chien foufou… (Mais je vais sûrement très vite changer d’avis.) M’enfin Eccleston, je l’oublierai pas de sitôt.


(Et le cap’tain Jack, j’étais toute triste qu’ils le laissent en plan. J’attend les prochaines occasions de le croiser… C’est fou, trois épisodes seulement et je l’aime comme s’il était là depuis le début de la saison…)

Dr Who 111 – Boom Town

Hop, petite transition avant de trouver encore le temps de regarder le double épisode suivant.

Mais c’est qu’on en n’avait pas fini avec les Slitheen…

La dernière qui reste a quand même appris la solitude.



Et le Doc lui offre une belle fin… Très instructive sur les mystères du T.A.R.D.I.S.

Et puis on dirait bien que cette fois, l’affaire Micky est bel et bien terminée, évolution normale…

J’aime bien les tronches de Rose…

   

Et dans le rayon « paysages irréels », celui-ci est pas mal du tout…


Dr Who 109/110 – Empty Child, The Doctor Dances

Punaise, cet épisode double… J’en suis encore toute retournée…

Bon, déjà, le Doc devant un rideau rouge, mine de rien, ça pète sa classe.

Et puis… il aime les chaaaaats!!!
(si, si, regardez bien, c’est pas de ma faute s’il traîne dans des rues sombres, non plus)

Mais tout ça, c’est dans une période bien sombre et déglinguée… La seconde guerre mondiale.

Forcément, une série qui remonte le temps, on pouvait pas passer à côté, hin. Ben c’est quand même original. Et puis, ça me rappelle le début de Narnia. Bon. Bref.

J’ai adoré cette fille-mère, cette ange des orphelins, Nancy…

Et puis y a pas à dire, Big Ben, ça fait tout de suite classe, quoi.

Et j’oubliais la tête du Doc dans le nuage de nanogenes
(encore une référence qui se réveille en moi: la Poussière de la Croisée des Mondes…)

Et puis le fameux délire swingueur… I remember! I can dance! I can dance!

Juste après l’euphorie du Everybody lives! et le récupérage de captain Jack (qu’on peut pas s’empêcher d’aimer malgré tous ses défauts répugnants, il me fait un peu penser à Han Solo en fait), c’était… cool ^^

Et puis alors comme ça, le mauve, c’est la couleur universelle du grand danger. C’est con, c’est ma couleur préférée
Bon, en même temps, c’est proche de l’octarine, hin. (si, si, hin?!)
Donc c’est bien la preuve que ça dépend du multivers, d’abord!

Dr Who 104/105 – Aliens of London / World War Three

EDIT 24/11/10: toujours en train de rapatrier mes anciennes notes d’avant mon déménagement de blog, je tombe sur les tirs groupés que j’avais fait au début de Dr Who, avant d’être assez complètement accro pour faire systématique une note par épisode, ne serait-ce que pour déblatérer une capture et une broutille.

Bref, j’avais envie de refaire ça mieux.

Tout ce que j’avais au départ, c’est ça:

« Excuse me, do you mind not farting while I’m saving the world? »

– Tellement potache, mais vraiment irrésistible ^^ –

Sauf que je parlais même pas de la mère de Rose qu’on découvre mieux dans ce double épisode, quand le Tardis revient 12 mois et non 12 heures.

Portée disparue, on fait mieux comme retour à la maison après une petite balade.


Mais le rude retour à la réalité est balayé par une intrusion impressionnante dans le ciel londonnien contemporain:


Et puis on découvrait une nouvelle race de méchants, les Slitheen.

Ou plutôt, les raxacoricofallapatorians.
(qu’est-ce que ça m’avait fait – et fait toujours – tripper, ça!)

Des purs aliens, quoi. Qui lâchent des gaz quand ils portent leurs déguisements d’humains, d’où la capture/citation que j’avais gardée ^^

Et pour les tuer il fallait trouver du vinaigre, une bonne bidouille de derrière les fagots, quoi.

 

Sixthings

Je viens juste, par le plus grand des hasards, de découvrir que Crooke conitnue à avoir un blog, mais plus à la même adresse, tout simplement…

Et puisqu’elle m’a passé la patate chaude des six choses à dire sur soi, voyons voir ce que je peux en faire…

1- L’autre jour, j’étais garée dans un coin et un espèce de mini-car s’était mis à la perpendiculaire entre-temps, j’ai cru que j’arriverais jamais à repartir… J’ai eu l’impression d’y passer trois siècles et d’avoir fait cinquante manoeuvres avant de réussir à avoir la marge suffisante pour me dégager sans frotter…

2- Tout camping est exclu pour moi, bicause mes ongles de pieds qui me demandent toujours une attention et un entretien soutenus, pour pas qu’ils recommencent à s’incarner… C’est quand même foutrement restrictif pour toutes mes envies de concerts, surtout quand on y rajoute mon stress au volant qui me fait reculer face aux longues distances inconnues et/ou nocturnes…

3- Ca fait 9 mois que je suis à mon boulot. J’ai la nostalgie des grandes vacances. Et je voudrais avoir moins de mal à m’imposer auprès des indélicats… Et que ça m’arrive un peu moins régulièrement de hurler intérieurement « mais qu’on me foute la paiiiix! »

4- Je grignote de plus en plus en guise de repas.

5- J’ai toujours une chanson qui me trotte en arrière-fond de mon esprit. Ou plusieurs qui se mélangent, mais toujours.

6- Si j’arrivais à mieux me dépatouiller avec moi-même, j’aimerais bien me trouver un gentil geek…

Voilà. Pas très positif, tout ça… Boah, de toute façon c’est un peu mon état-d’esprit « las » qui me lâche pas depuis décembre…

EDIT: Je précise quand même que je suis même pas si déprimouille que ça en ce moment, c’est juste qu’en faisant une liste, ben ça s’est fait comme ça, je savais pas quoi mettre, je voyais bien que ça peignait tout en noir mais j’avais beau changer d’idée l’impression générale était toujours la même… Mais en ce moment, ça va plutôt bien, hein!